fais ce qui te plaît

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Il en était souvent ainsi, en parcourant les trottoirs des villes durant ces mois-là, nous jetions des regards incrédules aux contructions étranges qui les longeaient. Nos yeux effilés taillaient des portions entières de toits et les laissaient chuter vers le ciel. D’ailleurs, ils n’épargnaient rien et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, des immeubles entiers avaient disparu derrière les nuages qui se traînaient sans se résoudre à désirer la mer plutôt que la montagne. Et pourtant, nous n’étions pas dupes, la ville intacte flambait sous le soleil de juin et nous étions heureux.

Auteur : jamaisvertige

Prose poétique et autres fantaisies

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