
Encore un peu de ce jour éclatant plaqué contre mon attente comme une pièce formidable dont on aurait vu tous les actes et où l’on chercherait une porte, une toute petite porte derrière laquelle tout à coup ne plus rien savoir – derrière laquelle plus rien ne serait comme avant – la grandeur du monde se cacherait derrière? Y en a-t-il beaucoup qui ne tournent pas rond à force de tourner en rond sur la grande scène? Et qui ne sont pas malheureux mais assoiffés? Et de quoi? Non pas d’éternité! Mais d’une fulgurante correspondance entre leur attente et leur présence par exemple et qui mènent leur propre guerre contre la fatalité contre soi-même envers et contre tout tout contre tout et qui cherchent une porte une porte une porte à ouvrir derrière laquelle tout commence, recommence et continue et dure depuis toujours